Paradis caché : 5 raisons d’aller faire du tourisme au Belize cet hiver

Destination d’Amérique centrale encore confidentielle, le Belize se niche entre le Mexique et le Guatemala. Il jouit d’une magnifique côte sur la mer des Caraïbes et de nombreux atouts pour des vacances au soleil.

Doté d’un climat subtropical, chaud et humide, le Belize se découvre de préférence entre décembre et mai. Et quelle découverte ! Forêts tropicales, vestiges archéologiques, plages de sable blanc, paradis des plongeurs… : ce petit pays anglophone de 23.000 km² concentre le meilleur de l’Amérique centrale. Parmi beaucoup d’autres, voici 5 bonnes raisons de partir au Belize cet hiver.

1. Plonger dans un site d’exception

Le Belize abrite l’un des sites de plongée les plus incroyables au monde : le « Blue Hole », ou Grand Bleu, exploré pour la première fois par le Commandant Jacques-Yves Cousteau en 1972. Ce joyau naturel est large de près de 300 mètres et profond de 120 mètres (voir la grande photo). Surnommé la grotte verticale, ce grand trou bleu se trouve au cœur de l’atoll Lighthouse Reef. Il s’agit de la plus grande formation de ce type dans le monde, intégrée à la Réserve de la Barrière de Corail, classée au patrimoine mondial de l’Unesco.

2. Observer les jaguars dans une réserve

Fondé en 1990, le sanctuaire faunique du bassin Cockscomb a été le premier site de préservation des jaguars au monde. La réserve s’étend sur 520 km² de forêt tropicale, dans le centre du pays. Grâce à cette action, le Belize est le pays le plus peuplé en jaguars au monde. Outre ces félins tachetés, on peut également observer des pumas, des tapirs, des reptiles ainsi que de nombreuses plantes exotiques.

3. Jouer les Robinson sur une île privée

La plupart du temps, cette idée reste un rêve… pas au Belize ! « Bird Island », ou l’île aux oiseaux, propose détente et repos. Cette île privée est située sur un atoll. Les visiteurs pratiquent le snorkeling et le kayak autour des coraux colorés ou empruntent un bateau pour tenter de pêcher leur repas. Attention de faire le plein de vivres avant de s’isoler. Sur place, il y a tout de même un accès à l’eau potable (grâce à un système de récupération des eaux de pluie).

Le site maya Xunantunich, surplombe la rivière Mopan. Il rassemble plus de 25 temples et palais. « Femme de pierre », c’est ce que signifie Xunantunich dans la langue maya. C’est également le nom de la place principale dominée par El Castillo, une pyramide de 40 mètres de haut offrant une vue imprenable sur les forêts et montagnes alentours. Les sites archéologiques béliziens sont bien moins visités que d’autres dans la région, l’idéal pour une exploration en toute tranquillité.

5. Rencontrer les Garifuna

Le peuple Garifuna est arrivé au Belize depuis l’île de Saint-Vincent au début du XIXème siècle. Il est aujourd’hui possible d’aller à sa rencontre à l’école Warasa à Punta Gorda. On y découvre son histoire et son héritage et par la même occasion, la culture du Belize, car la musique et la danse garifunas influent sur la musique de tout le pays et le reste de l’Amérique Centrale. Les Garifuna proposent de partager des cours de cuisine ou de tambour.

Plus en savoir plus sur le Belize, consultez le site de l’Office de tourisme.

Source

Auteur de l’article : Nanabio